
Andy Stott est de retour sur long-format, non pas pour son deuxième album, mais pour une compilation de morceaux sortis entre 2004 et 2008 sur la maison familiale Modern Love. A l’écoute de cette rétrospective, un constat s’impose : au fil des années le son est devenu plus épuré et dubby, au détriment des mélodies et des atmosphères deep qui ont fait sa renommée. Pour le meilleur ou pour le pire ? Continue reading
