[En] Aphex Twin – Dj set + Videos @ Coachella 08

aphex twin live dj set coachella 2008

Aphex Twin in the light ? Playing a track of Gregor Tresher ? Posing with people who are taking pictures ? Well ! This is the magic of the Coachella festival in California. The Mozart of electronic music has played a dj set (from Run DMC, LFO, Public Enemy to Hardcore and Drill’n’bass records), there in April 2008. A great time from one of the most secret artist on the planet. Continue reading

[En] The Tuss – Rushup I bank 12 video (rephlex)

The music of this video clip is taken from one of the best – and mysterious – album of 2007 : Rushup edge by The Tuss on the rephlex label. A lot of words have been written about the identity of The Tuss. First, everybody thought The Tuss was Brian Tregaskin, a never-heard-about-him guy, new gifted composer on the prestigious rephlex roster. Maybe too much talented… Continue reading

[Fr] AFX – Chosen lords (rephlex)

Après un flot de onze maxis largués de nul part et sur une très courte période (six mois, de janvier à juin 2005), le génie Aphex Twin, alias Richard D. James, remet ici une synthèse cd de ses Analord pour les étourdis qui seraient passés à coté, ou les malchanceux qui ne possèdent pas de platine vinyle. Sorti non pas sur warp, sa maison d’accueil, mais sur sa propre structure, le très réputé label Rephlex, on ne trouve aucun inédit, ni bonus sur cette compilation. Peu importe. En utilisant seulement des instruments analogiques sans l’aide d’ordinateur, le king des Cornouailles est revenu à une méthode de travail “archaïque” en s’imposant des limatations technologiques. On retrouve alors des sonorités old-school sur des synthés tourmentés, des TB-303 bizutées, des boites à rythmes “classiques” décalquées, peu d’effets, le tout dans un ensemble forcement complexe et malmené. Autour d’une architecture parfois violente (Fenix funk, Reunion) les mélodies sont mélancoliques, infectées par des ambiances nerveuses et sombres, les sonorités sont vibrantes, chargées d’émotions dans un univers intemporel, dur, presque impossible à transcrire aux néophytes qui n’ont jamais été approchés par l’expérience Aphex Twin. Tous les titres, sélectionnés parmi les quarante issus des maxis par Richard D. James, sont vraiment bien (excepté l’anémique Batine acid), et prouvent une fois de plus la supériorité de ce compositeur aussi discret que génial. Une oeuvre variée, peut être pas aussi ultra-innovante que ses anciennes productions, mais posée et assurée d’une main de maître. En attendant son prochain (vrai) album sur warp, prévu pour fin 2007.

Fenix funk

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